Le 17 septembre, c’était la Journée nationale du sport scolaire. L’objectif de ce
rendez-vous annuel est de « promouvoir le développement de la pratique sportive, notamment
du sport scolaire, tout en continuant à s’appuyer sur les valeurs du sport », précise le
ministère de l’Éducation. Le CFFP était de la partie.

Le thème 2025 était « Le plaisir d’abord ! ». Tout sauf un hasard, explique l’Union nationale
du sport scolaire : « Dans un contexte où la sédentarité progresse et où les inégalités d’accès
à l’activité physique se creusent, il est plus que jamais fondamental de rappeler que le plaisir
est un puissant moteur d’engagement dans la pratique sportive, dès le plus jeune âge. »
Pour ce qui est de l’Académie de Paris, l’événement s’est déroulé au Centre sportif Georges
Carpentier, à Paris, en présence de Jean-Marc Serfaty, Directeur national de l’Union nationale
du sport scolaire (UNSS), de Julie Benetti, Rectrice de la région académique d’Île-de-France
et du CFFP qui, comme chaque année, a participé à cette manifestation aux côtés de l’UNSS,
de l’Union sportive de l’enseignement du premier degré (Usep) et de l’Union générale
sportive de l’enseignement libre (UGSEL).

Des supports de communication distribués aux enseignants

But de l’opération pour le Comité : faire œuvre de pédagogie en accueillant des groupes
d’élèves dans son stand. Là, ces derniers ont pu débattre sur le fair-play et la prévention des
violences dans le sport tout en étant initiés, de manière ludique via un quizz dédié, aux bonnes
pratiques en la matière et aux dérives potentielles. Leurs réponses ont confirmé que ces sujets
étaient loin de leur être étrangers. Par ailleurs, dans le cadre de cette action, de nombreux
supports de communication leur ont été distribués, ainsi qu’aux enseignants. En l’occurrence,
des affiches de sensibilisation à la lutte contre les violences destinées à être apposées dans les
gymnases et des ouvrages consacrés au fair-play, à l’histoire du sport et aux principaux
dangers auxquels les enfants sont exposés (addictions aux écrans, harcèlement affectant leur
santé mentale…). Des outils que les professeurs entendent bien diffuser au sein de leurs
établissements.