Gilles Lecocq

Gilles Lecocq est particulièrement impliqué dans des réseaux de formation qui déploient des programmes innovants en matière d’éducation physique, de sport, d’activités physiques adaptées même corporelles et artistiques. En tant que vice-Président du Comité français Pierre de Coubertin (CFPC), il a organisé, en 2019, un colloque international intitulé « L’olympisme : un miroir et un aiguillon pour des sociétés en mutation ! ». L’occasion, pour le CFPC, de développer des actions à la solde de la dimension interculturelle et universelle des valeurs olympiques. Inlassable promoteur, en France comme à l’étranger, de l’esprit olympique que Pierre de Coubertin a offert au monde, Gilles Lecocq a réaffirmé que « la pratique du sport est un Droit de l’Homme. Chaque individu doit avoir la possibilité de faire du sport sans discrimination d’aucune sorte et dans l’esprit olympique qui exige une compréhension mutuelle, un esprit d’amitié, de la solidarité et du fair-play. »


« Je considère que Pierre de Coubertin est un stimulus à controverse, a déclaré Gilles Lecocq. Je pense que le Coubertin bashing n’existe pas car l’un des principes du fair-play, c’est d’accepter la controverse et non de l’éviter. Ce qui implique de débattre avec des personnes qui ne sont pas forcément d’accord avec vous. Il faut remercier l’esprit Coubertin qui nous permet de continuer à débattre sur des enjeux contemporains. Pierre de Coubertin était d’ailleurs un anglophile. Plutôt que l’opposition aux Francophones, il s’efforçait de s’inscrire dans une démarche interculturelle visant à rencontrer l’Autre dans sa langue d’origine. C’était aussi un chevaucheur de frontières entre la culture, le sport, l’éducation et la santé. A noter, enfin, que le CFPC a bénéficié d’une présence remarquée et remarquable lors des derniers JOP. »